Alexis Durand est né le 6 mars 1864 à Lyons-la-Forêt en Normandie.

Sa mère, Pauline Françoise Mainot, vient d’une famille de Lyons-la-Forêt. Son père est médecin. Elle n’a que 22 ans à sa naissance, s’étant mariée un an auparavant, le 20 janvier 1863.

Son père, Louis Alexandre Durand, est âgé de 44 ans. Sa famille est originaire de Touffreville en Normandie. Louis Alexandre est huissier au Havre, et veuf d’une première épouse, Céline Adélaide Robert, elle aussi de Lyons-la-Forêt et cousine de Pauline (voir acte de mariage), décédée en 1860 à trente et un ans.

Alexis a deux demi-frères de ce premier mariage, Georges Nicolas Joseph né en 1848 et Gaston Laurent né en 1854. Personne dans la famille n’avait entendu parler de demi-frères pour Alexis Durand, ce qui nous laisse supposer qu’il n’en avait jamais parlé.

A la naissance d’Alexis, la famille Durand réside au 12 rue de Neustrie au Havre. Ils déménageront plus tard pour le 4 rue du Lycée. Alexis passera là probablement sa jeunesse, ses parents y étant toujours domiciliés en 1885.

Alexis a les sourcils et les cheveux châtains clairs, les yeux gris, et une fois adulte mesure 1m66.

Le 21 octobre 1885, Alexis est admis au concours de Polytechnique. Il a 21 ans.

Le 1er octobre 1887, Alexis entre à l’Ecole d’application de l’Artillerie et du Génie, école d’application de Polytechnique située alors à Fontainebleau, comme élève sous-lieutenant (voir p.10 Officier de la Légion d’Honneur – OLH).

Deux ans plus tard, le 1er octobre 1889, il rejoint le 35ème régiment d’artillerie stationné à Vannes, comme lieutenant en second, où il reste 3 ans, 2 mois et 28 jours.

L’école et les exercices du temps d’Alexis étaient probablement assez semblables [Recueil. Souvenirs de l’École polytechnique et de l’École de cavalerie de Saumur
Publication date :   1902-1909

Du premier octobre 1892 au 31 août 1893 il suit les cours de l’école d’application de cavalerie à Saumur, où il obtient la notation « assez bien ».

Il y est d’ailleurs blessé 26 février 1893, une arthrite traumatique du genou droit avec épanchement articulaire 26 février 1893, « en faisant un effort pour empêcher un cheval de sortir du cercle où il se trouvait dans un exercice de dressage en maintenant un cheval à la longe ». Cette blessure est considérée comme ayant été reçue « en service commandé » (OLH).

Le 29 décembre 1892, il est nommé lieutenant en premier et rejoint le 15ème régiment d’artillerie stationné à Douai, où il est affecté à la 9ème Batterie. Ce n’est cependant probablement qu’en septembre 1893, lorsqu’il finit l’école de cavalerie, qu’Alexis rejoint son régiment à Douai.

Vie de Famille

Invité à une soirée ou à un dîner avec deux de ses amis, Alexis y rencontre la jeune et jolie Eugénie Lefebvre de Longeville. Eugénie, fille de Eugène Lefebvre de Longeville (voir biographie détaillée) et de Joséphine Boissonnet, née le 1er mars 1872, avait alors 21 ou 22 ans. Vivant à Amiens, avec sa mère et ses frères, elle était alors peut-être en visite dans sa famille, probablement chez son oncle maternel, le Baron Ernest Boissonnet.

Les deux amis qui accompagnaient Alexis lorsqu’il rencontra Eugénie sont peut-être Alfred de Saint-Loup, lieutenant au 15ème Régiment d’Artillerie, alors âgé de 23 ans et Louis Dujardin, sous-lieutenant au même régiment, alors âgé de 22 ans.(1) Alfred Marie Joseph de Saint-Loup est possiblement de la promotion 1890 de Polytechnique, devenu artilleur (né en 1870, les dates et âges concordent).

Alexis porte le Dolman avec le numéro 15, ce qui laisse supposer qu’il est alors qu 15ème R.A. C’est donc un portrait postérieur à décembre 1892
Eugénie Lefebvre de Longeville en 1892, alors qu’elle va bientôt rencontrer Alexis

L’histoire familiale rapporte qu’Eugénie était ravie d’être courtisée par un officier à la fois séduisant et avec un nom à particule, ayant confondu les noms d’Alexis et d’Alfred. Elle aurait ainsi accepté, lorsque ses parents le lui demandèrent, qu’Alexis lui fasse la cour officiellement, pensant que son nom était de Saint-Loup… Les qualité d’Alexis durent primer sur le nom puisque les jeunes gens poursuivirent leur projet.

Le 1er septembre 1894, Eugénie et Alexis se marient à Amiens.

Les jeunes mariés s’installent à Douai, rue Labisse.

Un an plus tard, le 12 septembre 1895, naquit leur unique enfant, Marguerite Louise Marie Pauline.

Alexis, Eugénie et Marguerite en 1895 avec Angèle Bacquet, épouse du Baron Ernest Boissonnet, oncle maternel d’Eugénie, et un de ses fils, dans l’hôtel particulier des Boissonnet, rue des Wetz à Douai

Quelques mois plus tard, le 21 novembre 1895, Alexis passe à l’Etat-Major (E-M) de son régiment où il devient lieutenant instructeur.

Alexis et Eugénie entre septembre 1894 et novembre 1897 (D’après son uniforme il est lieutenant, donc la photo est prise avant le 25 novembre 1897, date à laquelle Alexis devient capitaine)

Le 25 novembre 1897, Alexis est nommé capitaine en 2d, toujours instructeur à l’E-M du 15ème R-A, fonction qu’il occupe pendant 6 ans.

Le 17 avril 1899, son père Louis Alexandre décède à 80 ans à Lyons la Forêt, et Alexis, qui n’a que trente-cinq ans, signe l’acte de décès.

Au moins un de ses demi-frères est toujours vivant puisque la table des successions indique comme héritiers « les enfants »:

Table des successions 1899 LYONS LA FORET – ligne 134 pour Louis Durand

L’année suivante c’est sa mère, Pauline Françoise, qui décède, le 19 mai 1900 à Amiens. Là aussi, Alexis signe l’acte de décès.

Alexis, peut-être avec ses demi-frères ou à cause d’eux du fait de problèmes d’héritage, va alors vendre aux enchères l’ensemble des biens de son père, qui constituaient une collection vaste et précieuse comme le montre le catalogue de la vente ci-dessous. Il vendra peut-être également la maison. Nous savons que cette dernière était probablement sise rue de l’Hôtel de Ville à Lyons-la-Forêt, peut–être héritée du Docteur Mainot son grand-père. Les actes cependant ne donnent pas le numéro (d’après Philippe Lavoix, la maison est au 3 et correspond donc à la maison dite « Au Vieux Logis »).

Le 31 décembre 1903, Alexis rejoint la 11ème batterie du 15ème R-A, quittant ainsi l’E-M et son rôle d’instructeur.

Il lui faudra attendre 2 ans avant d’être nommé capitaine en 1er, le 24 mars 1905.

Le 21 juillet 1906, il est témoin au mariage de son beau-frère Albert Marie Bernard Philippe Lefebvre de Longeville avec Marguerite Marie Claire de Chazal.

Le 23 mars 1907, Alexis restant avec la 11ème batterie, passe au 27ème régiment d’artillerie également stationné à Douai.

La batterie de campagne comprend 1 capitaine, 2 officiers, 1 adjudant, 1 maréchal des logis chef, 1 maréchal des logis fourrier, 10 maréchaux des logis, 1 sous-officier d’approvisionnement, 1 maître maréchal-ferrant, 12 brigadiers, 4 maîtres pointeurs, 4 trompettes, 4 ouvriers, 3 aides-maréchaux, 2 bourreliers, 1 infirmier, 4 brancardiers, 40 servants et 80 conducteurs avec 36 chevaux de selle et 129 chevaux de trait. Son matériel comprend : 4 canons de 75 mm à tir rapide, 12 caissons, 1 forge, 1 chariot de batterie, 3 fourgons à vivres et 1 fourragère (Composition organique et structurelle de l’armée française en 1915 – Notions générales extraites des Cahiers de la Guerre n°12, de 1915).

Le 30 décembre 1908, il est fait chevalier de la Légion d’Honneur.

Le 9 mars 1910, il passe à l’Etat-Major du 27e R-A, comme capitaine en 1er adjudant-major.

Il retourne au 15ème R-A le 24 septembre 1912 à l’Etat-Major.

Il sera nommé chef d’escadron (equivalent de commandant pour l’artillerie) deux ans plus tard, le 23 septembre 1913.

Ses notations par ses supérieurs, au long de ces années, se résument ainsi (notes prises par Françoise Lavoix au SHAT):

Grande intelligence, esprit fin mais frondeur, « mauvaise tête bon coeur », excellent cavalier, ordre et discipline, souvent excessivement dur avec ceux qui sont sous ses ordres, très courageux, très bon tireur.
Jamais reçu à l’Ecole de Guerre « mais noté trop sévèrement ».

Extraits des dossiers militaires d’Alexis Durand

Adjudant-major : officier du rang de capitaine (exceptionnellement de celui de lieutenant) qui était chargé de l’instruction et de la discipline du corps. En cas d’absence, il pouvait remplacer le colonel ou le chef de bataillon. (Les grades de l’armée de Terre, Service historique de la Défense)

La réunion de 3 batteries forme un groupe sous le commandement d’un chef d’escadron, à qui sont adjoints trois officiers de liaison, un officier d’approvisionnement, un médecin et un vétérinaire.Le groupe dispose d’une voiture médicale, de 2 fourgons, d’une voiture à viande et d’une voiture-observatoire. Le total de son personnel comprend : 16 officiers, 87 gradés, 441 canonniers et 514 chevaux (Composition organique, Ibid.).

C’est au 15ème R-A qu’il sert lorsque la mobilisation générale est déclarée et que la guerre de 14-18 commence.

La Grande Guerre

Alexis prend part bien entendu à toute la campagne contre l’Allemagne à partir du 2 août 1914. Il a alors 50 ans.

2 Août 1914 – 18 Août 1915: à l’Etat Major du 15e Régiment d’Artillerie de Campagne

Le 15e RAC fait partie de la 1ere Division d’Infanterie (DI – Lille), 1er corps d’Armée. Il se compose de 3 groupes de 9 batteries de 75 chaque (36 canons). Lors de la mobilisation, en fonction du plan prévu, il fait partie de la 5ème Armée, composée de 299.350 hommes, commandée par Charles Lanrezac, qui va se concentrer d’Hirson à Dun-sur-Meuse et a pour mission de surveiller la frontière belge dans le massif ardennais.

Pour comprendre la guerre, les cartes et la mission d’Alexis Durand comme artilleur

Le 15ème RAC atteint la région d’Hirson en train, étant parti de Douai le 5 août. Alexis est alors, comme nous l’avons, vu chef d’escadron (commandant 3 batteries) à l’EM du 15e RAC. (Questions: comment les engagements se passent-ils pour les officiers d’EM ? Où sont-ils, par exemple?)

Le 23 août, le 15ème RAC est engagé dans la bataille de Charleroi, qui a commencé le 21, aux environ de Saint-Gérard.

Fin août, le 29 et le 30, c’est la bataille de Guise à laquelle prend part le 15e RAC.

Puis, en septembre Alexis et son régiment prennent part à la bataille de la Marne (5 au 12 septembre 1914 – voir Historique du 15e régiment d’artillerie de campagne ci-dessous). Le 6 et 7 le 15e RAC est à Esternay, le 8 et le 9 vers Montmirail. Finalement, le 13 le RAC défile à Reims.

Les combats reprennent vite, le 15ème RAC participe à la fortification des tranchées et aux combats de l’Aine.

Le 29 décembre 1914, le 15e RAC arrive en Champagne où il se bat jusqu’en mars 1915.

Lire les pages 3 à 5 du livre ci-dessous pour le temps passé par Alexis avec le 15ème Régiment d’Artillerie de Campagne (RAC) pendant la grande guerre.

(Pour les téléphones portables, cliquer sur l’image et lire sur Gallica – Historique du 15e régiment d’artillerie de campagne pendant la guerre 1914-1918)

La vidéo ci-dessous donne une idée du travail des artilleurs, même si le film est fait dans les Vosges où Alexis n’est pas.

Mai 1915 – Dans les Vosges (où Alexis n’est pas, mais cela donne une idée du travail des artilleurs)

18 août 1915 – 21 février 1916: 11e Régiment d’Artillerie de Campagne

Le 18 août 1915, Alexis passe au 11e Régiment d’Artillerie, toujours comme chef d’Escadron.

En 1914, le 11ème RAC est composé des 1e, 2e, 3e et 4e groupes d’artillerie (batteries 1 à 12). Son casernement en 1914 était à Rouen (4 groupes, 12 batteries de canons de 75). Il fait partie de la 3e brigade d’artillerie, artillerie du 3e corps d’armée, 5e armée.

« En juillet 1915, les 3e et 4e groupes du 11e RAC, passent comme artillerie de la 130e division d’infanterie, nouvellement formée. Ils constitueront (avec un groupe du 28e RAC) le nouveau 211e RAC » en 1917 (Chtimiste.com).

Compte tenu de la suite de ses affectations, il semble presque certain qu’Alexis arrive pour la mise en place du changement lié à la création de la 130e DI.

Le film ci-dessous, correspond à la période octobre-novembre 1915, mais est pris dans la Meuse alors qu’Alexis est alors en Artois (il sera dans la Meuse plus tard). Cependant il montre le déplacement d’une batterie de 75 ce qui correspond exactement à l’artillerie du régiment d’Alexis, d’où le choix de la vidéo qui nous permet de mieux imaginer ce que vivait Alexis.

Octobre-novembre 1915

En septembre, Alexis et son régiment se battent en Artois sur la crête de Vimy puis au bois de la folie. C’est ensuite la Somme (oct. à déc. 1915) : Rosières-en-Santerre, Lihons, Framerville.

Décembre 1915 – la Somme – Les histoires filmées de la Grande Guerre

En 1916 c’est toujours la Somme (de janv. à mars) : Maucourt, Lihons, Framerville.

21 février 1916 – 1er avril 1917: 28e Régiment d’Artillerie de Campagne

Le 21 février 1916, Alexis rejoint le 28e Régiment d’Artillerie (lire ci-dessous les pages 11 à 16).

Au début de la guerre, le 28ème était caserné à Vannes. Il fait partie de la 11e brigade d’artillerie, artillerie du 11e corps d’armée, 5ème armée. Le 28eme RAC se compose « de 4 groupes (puis 2 en juin 1915, puis 3 en avril 1917), 12 batteries de 75 en 1914 (48 canons) » (Chtimiste.com).

Comme la bataille de Verdun a commencé le 13 février 1916, il est probable que cette nouvelle affectation résulte de l’offensive.

Transitions

1er avril – 16 mai 1917: 211e Régiment d’Artillerie de Campagne

Le 1er avril 1917, Alexis contribue à la création et à l’organisation du 211e Régiment d’Artillerie, créé début avril 1917, se composant de groupes du 11e RAC et du 28ème RAC, les deux derniers régiments dans lesquels il a servi.

« Ce régiment d’artillerie ne fut créé qu’en avril 1917 à partir de trois groupes de 75 constituant l’artillerie de la 130e division d’infanterie (AD130) depuis juillet 1915. Le premier groupe est constitué par le 3e groupe (7e, 8e et 9e batteries) du 11e RAC, formé à Rouen. Le 2ème groupe est constitué par le 4e groupe (10e, 11e et 12e batteries) du 11e RAC, formé à Rouen. Le 3ème groupe est constitué par un groupe du 28e RAC, arrivé à l’AD130 en février 1916. (Vient de l’AC3, et de la 84e DIT en juin 1915) »(Chtimiste).

Le fait qu’il ne reste qu’un mois et demi au 211e me fait supposer que sa tâche a essentiellement été celle liée à l’operationalisation du nouveau RAC, et du fait de son expérience et parce qu’il connaissait et le 11e et le 28e RAC.

16 mai 1917 – 1er juin 1917: 16e Régiment d’Artillerie de Campagne

Alexis rejoint le 16e Régiment d’Artillerie par Ordre du General Commandant en Chef du 16 mai 1917 No 15444 alors que le P-C du Lieutenant-Colonel Zambeaux (remplacé en juillet, provisoirement par les commandants Rayne puis Rebois) s’est établi à Aubigny le 15, après une série d’attaques sur la ligne Hindenburg depuis début avril (Historique du 16e régiment d’artillerie 1914-18, p. 21). Mais il ne restera pas et sera de nouveau transféré.

28 mai 1917 – Commandement du 216ème Régiment d’Artillerie de Campagne

Le 28 mai 1917, Alexis prend le commandement du 216ème RAC (à titre temporaire (active) (notez que la date du 1er juin est donnée sur son dossier d’OLH).

L’histoire de sa campagne au 216e RAC peut être lue ci-dessous, pp.22-37.

Il se distingue notamment dans la Meuse avec son régiment pour l’appui donné lors de l’attaque du 20 août 2017.

Alexis est d’ailleurs cité à l’ordre de la Division du Maroc, commandée par le Général Degoutte (No61, en date du 17 septembre 1917).

« Autour de l’offensive de Verdun. » (Meuse, août 1917) – Les Annales de la guerre n°24.

Alexis sera nommé Lieutenant-Colonel, le 2 octobre 1917, par D.M. du 26 octobre 1917 (J.O. 1er novembre 1917).

D.M. du 26 octobre 1917 (J.O. 1er novembre 1917)

Le 18 avril, il sera nommé officier de la Légion d’honneur.

24 juillet 1918 au 11 novembre 1918: 105e Régiment d’Artillerie Lourde, E-M

Le 24 juillet 1918, il rejoindra le 105e Régiment d’Artillerie Lourde, E-M, auquel il est officiellement affecté par DM du 2 août 1918 (J.O. 6 aout 1918).

Historique du 105e Régiment d’Artillerie Lourde 1914-18 (1920) – Voir pp. 30 et suivantes.

Ile retrouvera Douai ayant subit d’énormes destructions après la guerre.

Le 13 mars 1920, sa fille Marguerite, âgée de 24 ans épouse Jean Lavoix, qui a alors 40 ans. Alexis s’entendait parait-il bien avec son gendre.

En 1923, il prend sa retraite à Villers, dans la Somme.

Alexis Durand dans les années 1930 (?)

Il verra la naissance de ses cinq petits-enfants, de 1922 à 1936, et s’éteindra le 28 octobre 1936 à 72 ans, à Douai.

Bibliographie et notes

Archives Léonore (dans le texte référence Officier Légion d’Honneur – OLH) « Alexis Durand« 

Historique des faits auxquels a pris part le régiment d’artillerie de la 63e division : 216e régiment d’artillerie (1914-18)

Le dolman dans l’armée française 1871-1914, Partie II : L’artillerie et le train des équipages militaires

Aller en bas

(1) Je suppose que ces deux amis sont ceux qui accompagnent Alexis ensuite lorsqu’il déclare la naissance de sa fille.

(2) Alfred mourra très jeune, le 5 juillet 1899, d’une chute de cheval (notez l’erreur d’âge faite en interprétant la stèle, si on se réfère au document de Polytechnique). On peut supposer que cette mort affecta Alexis.

Publié par Helene Lavoix

Dr Helene Lavoix, PhD Lond (Relations internationales) est fondatrice et directeur de The Red (Team) Analysis Society. Elle est spécialisée en prospective stratégique et alerte précoce en matière de sécurité nationale et internationale. Elle a enseigné au niveau Master à Singapour et à SciencesPo-PSIA.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *